L’idée de « L’inconnue du palais des festivals » a germé dans ma tête en août 2020, au cœur du golf de Saint-Tropez. À ce moment-là, j’avais d’abord imaginé une histoire bien différente, dont je n’ai conservé que le revolver Magnum 357.
Le titre de départ de ce roman, mon troisième, était simplement : Cinéma. Ce n’est que vers la fin de l’écriture que j’ai choisi le titre de « L’inconnue du palais des festivals », qui a également bien failli s’appeler « Toutes les actrices sont folles ». Mais finalement, c’est « L’inconnue du palais des festivals » qui s’est imposé.
L’histoire débute au sein des fêtes foraines, et ce n’est pas un hasard. J’ai bien connu les fêtes foraines du nord Dauphiné, que nous appelions plus couramment les vogues. Dans ma tête, ce sont toujours les vogues qui prédominent. Bien que je les aie connues, je n’y ai pas été élevé, mes parents étant divorcés. Je rendais visite à mon père, mais je ne suis pas ici pour en dire plus à ce sujet. Dans ce roman, à part la scène avec la poison, tout est du vécu ; j’ai à peine romancé, et j’aimais beaucoup « Rosy » qui portait bien sur un autre prénom.
Concernant le cinéma, tout est imaginé. Je ne connais absolument rien de ce monde.
L’Italie est omniprésente dans ce roman, et j’ai une seule réponse : j’aime l’Italie, j’aime les Italiens, leur mode de vie, tout. Le petit village de Rinizzali n’existe pas, je l’ai imaginé… enfin, c’est ce que je crois. Je ne suis pas certain de l’avoir vraiment inventé. Mais ça, c’est une autre histoire…
Je vous parlerai des personnages et d’autres éléments encore dans de futurs articles.
Bonjour!
RépondreSupprimerTrès contente de lire cet article et hâte de découvrir les prochains afin d’en savoir plus sur l’inconnu du palais des festivals 😍
Bonsoir, Vesely charlotte 🙂 Il faut me laisser le temps de les écrire 😉💐
Supprimer