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Affichage des articles associés au libellé MusicStelle 50 60 70 80

Pauvre petite fille riche... Mary Pickford... ET ?...

  LA SAVIEZ-VOUS ? (J’ai découvert cela en écrivant mon troisième roman, CINÉMA ) « Pauvre petite fille riche » est à la fois le titre d’une chanson de Claude François et celui d’un film muet américain de 1917 mettant en vedette Mary Pickford. Voici quelques informations sur le film : Cloclo, le savait-il ? Je pense que oui, à l’affût de tout… Titre original : « Poor Little Rich Girl » Réalisateur : Maurice Tourneur Acteurs principaux : Mary Pickford, Madlaine Traverse, Charles Wellesley Date de sortie : 1917 Genre : Comédie dramatique Le film « Pauvre petite fille riche » raconte l’histoire d’une jeune fille issue d’une famille riche et aisée, mais qui se sent seule et incomprise malgré sa fortune. Fatiguée de la vie mondaine et des conventions sociales, elle décide de s’échapper de son environnement privilégié et de découvrir le monde à sa manière. Au cours de ses aventures, elle fera des rencontres inattendues qui changeront sa vision de la vie. Mary Pickford, qui était l’une des a

(Inédit) Claude François"Comme D'habitude" (1968) Audio HQ

L Le vrai boss en France, c'était lui. Comme d'habitude   est une chanson emblématique écrite par Claude François, Jacques Revaux et Gilles Thibault. Elle a été enregistrée pour la première fois par Claude François en 1967. La chanson raconte l'histoire d'un homme qui se rend compte que sa relation amoureuse est devenue routinière et sans passion, et exprime son désir de changement. Les paroles poignantes et la mélodie entêtante ont immédiatement touché le public et ont fait de "Comme d'habitude" un succès international. L'adaptation anglaise de la chanson, intitulée My Way et interprétée par Frank Sinatra, a également connu un immense succès. Comme d'habitude reste l'une des chansons les plus célèbres de Claude François et demeure un classique intemporel de la musique française.

PROCOL HARUM - A Whiter Shade of Pale

PROCOL HARUM - A Whiter Shade of Pale Que dire encore et encore de ce fabuleux titre de 1967, sinon que c'est le plus beau des slows, le slow des slows … A Whiter Shade of Pale de Procol Harum est empreinte d’une atmosphère envoûtante et mystérieuse, plus que toute autre… Sortie en 1967, cette chanson est reconnue pour sa mélodie captivante et ses paroles énigmatiques… Son origine et son inspiration restent sujettes à différentes interprétations. Certains prétendent que Gary Brooker aurait puisé l’inspiration dans une transe ou un état d’esprit particulier. D’autres affirment que les paroles évoquent une histoire entre un homme et une femme, transposée dans un contexte mythologique. Qui saura jamais ? A Whiter Shade of Pale  continuera longtemps de fasciner, des siècles probablement. La musique a ce pouvoir unique de nous transporter dans un autre univers, de nous émouvoir et de nous faire ressentir des émotions profondes. A Whiter Shade of Pale en est un exemple parfait.

Domenico Modugno - Come hai ffato

Domenico Modugno - Come hai fatto Un titre de 1969 que j'ai découvert très tardivement en regardant cette vidéo en hommage à Virna Lisi...   https://christian-vial.blogspot.com/2023/02/virna-lisi-come-hai-fatto.html   Cette chanson très émouvante raconte l'histoire d'un homme amoureux fou d'une femme et qui ne peut jamais rester loin d'elle...

Vladan Guitar - Best of 60 instrumental hits - Mega Mix High Quality

J'ai pensé que cet album méritait de figurer parmi les MusicStelle 50 60 70 80, car c'est vraiment le son unique des années 60 et vos mémoires d'enfants vont pétiller dans vos têtes comme rarement… Vous pouvez découvrir cet artiste sur sa chaine YouTube,  https://www.youtube.com/@anaaleksa

Petula Clark - Downtown (1964) 4K

Petula Clark - Downtown C'était en 1964, j'avais sept ans et cette chanson ne m'a jamais quitté. Petula Clark, une icône de la musique pop internationale, a enchanté des millions de fans à travers le monde avec sa voix chaleureuse et ses tubes inoubliables. Avec des titres emblématiques tels que  Downtown , Call Me , ou encore La nuit n’en finit plus , Petula Clark a marqué l’histoire de la musique et conquis le cœur de nombreuses générations. Son charisme sur scène et son talent exceptionnel ont fait d’elle une artiste incontournable, dont l’influence perdure encore aujourd’hui. Petula Clark incarne l’élégance, la passion et l’émotion dans chacune de ses interprétations, et son héritage musical demeurera à jamais gravé dans nos mémoires. Merci pour tant de belles mélodies et de moments magiques, Petula Clark.

Christophe "Aline" | Archive INA

Une décennie de tubes ! Christophe et Aline, c'était en 1965 !

Frank Alamo - Ma biche (1964)

1964 ! Encore un souvenir de mes sept ans...

Isabelle Aubret - La Source (1968)

1968 ! J'avais 11 ans et je ne comprenais pas vraiment le sens des paroles, la sauvagerie de certains hommes...

Claude François "De ville en ville" (live officiel) | Archive INA

Je commence « MusicStelle 50 60 70 80 » avec Claude François.  Claude François est mon chanteur préféré depuis ma petite enfance, mon numéro UN. C’est grâce à sa chanson De ville en ville dans les années 60 que je l’ai découvert… Comme d’habitude et Le vagabond occupent une place spéciale dans mon cœur… Les chansons de Claude François croisent beaucoup de nos vies, il y en a toujours qui entrent en résonance avec notre vécu… En 1964, j’avais sept ans et sauf erreur, Claude François bondissait, ici, au cours de l’émission d’Albert Raisner : « Âge tendre et tête de bois »…

Virna Lisi - Come hai fatto

Vina Lisi accompagnée par la voix de Domenico Modugno... Magnifique ! Virna Lisi, de son vrai nom Virna Pieralisi, est une actrice italienne née le 8 novembre 1936 à Ancona. Elle a marqué l’histoire du cinéma italien par son talent, sa beauté et sa présence magnétique à l’écran. Débutant sa carrière dans les années 1950, Virna Lisi s’est rapidement imposée comme l’une des actrices les plus en vue du cinéma italien. Son charisme naturel et sa capacité à incarner une grande variété de rôles lui ont valu de remporter de nombreux prix et nominations tout au long de sa carrière. Virna Lisi a joué dans de nombreux films emblématiques du cinéma, tant italiens qu’étrangers. Parmi ses nombreuses collaborations, on peut citer « La Reine Margot » de René Clément, un film français pour lequel elle a remporté le prix d’interprétation féminine au Festival de Cannes en 1994. Elle a également tourné aux côtés de grands réalisateurs italiens tels que Mario Monicelli, Luigi Comencini et Ettore Scola. Au

Bing Bang

Je me souviens vers mes dix ans, 1967, peu importe, juste pour situer, je voyais sur les pochettes des disques vinyles ces artistes d’un d’un temps si loin… Leurs pochettes me faisaient peur, me flanquaient une véritable trouille… L’une me revient à l’instant de ces mots, une pochette d’…, ses cheveux clairsemés, malades… Et ces chansons réalistes que l’on écoutait encore chez nos vieux, toutes plus tristes les unes que les autres… « Les roses blanches », une peur bleue, elle me filait ! interprétée, si mes souvenirs sont bons, par Berthe Silva. (Pour laisser ce texte naturel, brut, je ne vérifie rien sur internet ; tant pis pour les erreurs, les anachronismes). « Les roses blanches », il ne faudrait pas permettre à un enfant d’écouter des chansons aussi tristes, elles peuvent laisser des traces, forger des caractères… Heureusement, à cette époque, les guitares tiraient sur les violons et chez moi sur le tourne-disque de mes dix ans, les vinyles de Claude François, Michel Sardou, Sylvi

Lui

Depuis quelque temps, nous nous souvenons de celui qui ne nous a jamais oubliés… Il a conservé les stigmates de nos précipitations, de nos émotions, de nos bonheurs et de nos peines… Les petites mains de cette jeune fille tremblante d’émotion…, de ce jeune homme timide…, demain, il lui dirait demain… Les mains frêles de cette grand-mère et de ce grand-père, tremblants encore devant leurs jeunes vies. Les petites mains de ce petit enfant auquel il était interdit et qui en cachette le blessèrent si profondément que ses balbutiements y furent gravés… Combien de milliards d’êtres humains, depuis ses débuts, jusqu’à la naissance de ce rival parfait, mais froid et sans âme qui s’apprête aujourd’hui à mourir, n’ont pas guetté le dernier sorti pour lui confier leurs vies en l’assujettissant dans un empressement fébrile à cet appareil qui restituait des vies et imprimait les leurs ? Nous l’avions conservé au cas où un jour, plus tard… Aujourd’hui ! Ses faces, c’était selon les goûts, les humeur