L’idée de « L’inconnue du palais des festivals » a germé dans ma tête en août 2020, au cœur du golf de Saint-Tropez. À ce moment-là, j’avais d’abord imaginé une histoire bien différente, dont je n’ai conservé que le revolver Magnum 357. Le titre de départ de ce roman, mon troisième, était simplement : Cinéma. Ce n’est que vers la fin de l’écriture que j’ai choisi le titre de « L’inconnue du palais des festivals », qui a également bien failli s’appeler « Toutes les actrices sont folles ». Mais finalement, c’est « L’inconnue du palais des festivals » qui s’est imposé. L’histoire débute au sein des fêtes foraines, et ce n’est pas un hasard. J’ai bien connu les fêtes foraines du nord Dauphiné, mon père était forain, nous les appelions les vogues. Dans ma tête, ce sont toujours les vogues qui prédominent. Bien que je les aie connues activement du côté forain, je n’y ai pas été élevé, mes parents étant divorcés. Je rendais visite à mon père, mais je ne suis pas ici pour en dire plus à ce suj...
Si mes mots continuent de vivre un peu après moi, ce sera déjà beaucoup.