« Les réseaux sociaux sont de vastes prisons dans lesquelles nous sacrifions nos vies et nos libertés. Avant l’avènement de ces plateformes, les échanges se faisaient dans des lieux publics comme les cafés, les rues, où les gens discutaient et partageaient leurs idées, qu’elles soient communes ou opposées et les oiseaux de malheur qui terrorisent les populations en instillant toutes les peurs n’avaient pas d’audience significative. De nos jours, les conversations se déroulent sur les réseaux sociaux entre des individus qui ne se connaissent pas et ne se rencontreront probablement jamais. Une fois les appareils éteints, il ne reste aucune trace de ces échanges, de ces disputes entre des personnes cachées derrière des comptes anonymes. Cela permet aux despotes de maintenir ces individus dans l’obscurité de l’anonymat. »
— Oui ! mais sans les réseaux sociaux, nous n’aurions peut-être jamais découvert la vérité sur […] !
— Certes, mais sans ces plateformes, ces […] n’auraient peut-être même pas été tentées.
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