Depuis 1981, la France vit sous des alternances politiques entre la droite et la gauche. Le 10 mai 1981, j’en ai été témoin actif, puisque j’ai collé les affiches de François Mitterrand. Le 17 mai 1995, j’en ai également été témoin ; dès le départ de François Mitterrand, je me suis tourné vers la droite et je ne suis jamais revenu à gauche. La gauche qui a succédé à celle de François Mitterrand est, à mes yeux, une imposture totale, car liberticide. Elle a renié tous ses beaux idéaux de liberté, allant jusqu’à interdire l’accès des centres-villes aux plus pauvres.
La gauche de l’après-Mitterrand a été colonisée par les écologistes, qui l’ont dénaturée en méprisant le monde ouvrier. Cette pédanterie de philosophes autoproclamés nous a presque tous poussés à fuir vers la droite, où ces mêmes bobos parisiens, imposteurs de gauche, nous qualifient désormais d’extrémistes de droite, de fascistes, voire de nazis.
Le tableau étant dressé, examinons le bilan de ces alternances droite-gauche :
— Un échec économique total : ni la droite ni la gauche n’ont été capables de dynamiser la France. Elles ont laissé passer le tournant numérique : nous ne sommes même pas capables de concevoir de simples calculettes. Alors, quant à créer des ordinateurs et des smartphones, c’est mission impossible. Elles n’ont pas su encourager la création de réseaux sociaux français ni concevoir des moteurs de recherche pouvant rivaliser avec Google, etc.
— La droite et la gauche ont dilapidé notre argent, jetant par les fenêtres les fruits de notre labeur, que ce soit celui des chefs d’entreprises ou des salariés. Droite et gauche sont devenues des gouffres financiers, où notre argent brûle entre leurs mains, tout comme il brûle dans celles d’adolescents qui se précipitent pour dépenser l’argent des étrennes donné par leurs grands-parents.
— Pour financer leurs gabegies, la droite et la gauche ont recours à des pratiques déplorables, dont celle de radier massivement des chômeurs pour faire croire à la réussite de leurs politiques désastreuses. Grâce à des connivences et de fausses oppositions parfois effrayantes dans des assemblées nationales frelatées, la droite et la gauche ont contraint les Français à travailler jusqu’à près de soixante-dix ans pour rembourser leur dette commune de 3 300 milliards d’euros ; chiffre à ce jour, alors que Macron inonde le monde de notre fric, il est difficile de voir une issue à leur gouffre.
Le plus grave à présent :
— Au prétexte d’un virus, une certaine droite, le centre et la totalité des partis de gauche se sont livrés à des exigences liberticides dépassant tout ce qui était imaginable. Aujourd’hui encore, je me pince… et non, je n’ai pas rêvé et je ne rêve pas. Ces tyrans, ces despotes, ces liberticides de droite et de gauche ont été jusqu’à jeter des milliers de citoyens français à la rue, sans salaire, sans rien du tout, simplement parce qu’ils refusaient de se faire vacciner contre la covid 19 ! Oui, une certaine droite, le centre et la totalité de la gauche se sont livrés à des actes monstrueux ou les ont soutenus par leur assourdissant silence.
En conclusion, pour qui voter ?
Eh bien, même si, comme depuis 1995, je ne voterais pas à gauche, je ne sais plus pour qui voter ! J’ai un espoir du côté de monsieur Pierre de Gaulle, mais peut-être qu’une énième fois, je me trompe… Je ne le connais pas suffisamment, c’est son nom qui me rassure…
Image d'illustration : Pixabay
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